L’épisode 1996.04.18 du balado Radio F**klia examine la chronique de Pierre Foglia publiée il y a 25 ans, jour pour jour. Le jeudi 18 avril 1996, en page A5, La Presse publie un texte de 956 mots intitulés «Le bonheur ne pousse pas dans les arbres». Ayant traité Atlanta de trou avec une banlieue autour, Foglia revient en service après vente pour mieux qualifier Atlanta.
L’épisode 1996.04.06 du balado Radio F**klia examine la chronique de Pierre Foglia publiée il y a 25 ans, jour pour jour. Le samedi 6 avril 1996, en page A5, La Presse publie un texte de 970 mots intitulé «Salut Girerd, bonjour Chapleau».
Changement de garde à La Presse.
Le caricaturiste Girerd part. Foglia en profite pour régler ses comptes. Il le traite de tête de vache. Entre autres méchancetés…
L’épisode 1996.04.04 du balado Radio F**klia examine la chronique de Pierre Foglia publiée il y a 25 ans, jour pour jour. Le jeudi 4 avril 1996, La Presse publie en page A5 un texte de 939 mots intitulé
«De l’utilité d’un chroniqueur». Foglia revient encore sur une chronique récente… Une histoire de syndiqués au centre Le Royer qui s’occupe de personnes âgées en perte d’autonomie. La direction avait invité ses employés à faire des économies et des compressions et en retour on leur remettrait 10 % de la valeur des coupes par le biais d’un tirage…
Bonne écoute !
L’épisode 1996.04.02 du balado Radio F**klia examine la chronique de Pierre Foglia publiée il y a 25 ans, jour pour jour. Le mardi 2 avril 1996, en page A5, La Presse publie un texte de 921 mots intitulé «Le petit lait de la bêtise».
Une chronique qui sent encore le justicier. Et pourquoi pas? Foglia commence par demander à ses lecteurs d’imaginer la forme que pourrait prendre un mélange d’histoire de cul et de poésie… Pas n’importe quoi! Faut que ça se mange…
Bonne écoute !
L’épisode 1996.03.30 du balado Radio F**klia examine la chronique de Pierre Foglia publiée il y a 25 ans, jour pour jour.
Le samedi 30 mars 1996, en page A5, La Presse publie «Je suis un peu déssus», un texte de 943 mots.
Un des petits classiques du PFisme aujourd’hui. Un prof de français lit une chronique de Foglia à ses élèves. Le texte en question est, lui, un grand classique intitulé «Les enfants moules». Stéphane, le prof, en réaction à la chronique qui ne ménage pas la jeunesse québécoise, demande à ses élèves d’écrire un texte d’opinion…
Bonne écoute !