Gadget 2.0 ou un autre paradigme ?

Une initiative intelligente ? Pas sur.

 

 

C'est gentil, mais une combinaison de modules ne résout pas le problème de l'obsolescence programmée.

La solution réside dans la capacité du consommateur de réparer ou modifier l'objet.

Le bloc-moteur pour outils de bricolage ( scie ronde, scie sauteuse, fraise, perceuse, foreuse, etc. ) existait en 1970.

Il a disparu quelques années plus tard

 

Le marché attend une promesse plus ambitieuse.

Voici ma proposition (elle existe peut-être déjà ;-)) et le premier manufacturier à l'adopter s'attirera un capital sympathie inédit :

  1. Les objets électroniques courants doivent être réparables
  2. La conception des objets peut être propriétaires, mais leur survie dans la pampa du quotidien doit être «libre»
  3. Le manufacturier d'objets libres publie les plans et fichiers 3D. Ils sont disponibles et libres de droits pour réparation et modifications
  4. Les objets libres sont identifiés par un logo spécifique indiquant leur nature «libre»

Est-ce que les sociétés actuelles peuvent faire ce saut dans une autre idéologie ?

Peu importe. Il est plus simple de partir de zéro s'il le faut.

 

Comme le fait le groupe Open Source Ecology pour les équipements plus lourds.